Dans un ciel bleu profond, des nuages apparaissent à un rythme régulier, chacun porteur d’un poids invisible : celui du carbone. Inspirée des estimations du GIEC sur les émissions mondiales de CO₂, l’œuvre rend sensible, par la lente accumulation et la légèreté apparente de l’image, une réalité colossale et continue
Cette œuvre numérique immersive plonge le visiteur dans une représentation visuelle du réchauffement climatique. Les données climatiques s’animent et se transforment en une expérience intense et poignante, symbolisant l’accélération du changement climatique et ses conséquences dévastatrices.
Sur une mer figée, éteinte, les résidus d’un monde moderne dérivent sans hâte. Bouteille, sac plastique, fragments de consommation flottent au rythme d’animations lentes, presque apaisées. Rien ne coule, tout dérive — sans horizon, sans remous.
Cette œuvre interactive explore la relation fragile entre la température planétaire et la vitalité terrestre.
Cette œuvre détourne l’interface de Google Maps pour simuler un futur où la Terre n’est plus qu’un souvenir inaccessible. Le spectateur, guidé par des automatismes numériques, se heurte à l’absurde : une recherche impossible.
Profanatio naturae met en lumière la fragilité de la nature face à l’impact humain et la rapidité avec laquelle la pollution peut se propager.
Il existe des expositions qui remplissent les murs, saturent les regards, débordent d’objets et de discours. L’Exposition du Rien prend le contrepied radical : douze œuvres qui frôlent l’effacement, l’absence ou la pure idée.
L’Exposition du Rien rassemble douze œuvres qui frôlent l’effacement, l’absence ou la pure idée. Dix pièces signées Marcel Robert et deux interventions de Clara Vesper composent cet ensemble rare, presque intangible, où le silence, le vide et la trace deviennent matière artistique.
Document-artefact codé selon les protocoles HTML standards. Identifiants : aucune métadonnée unique. Contenu principal : une image centrale nommée « signature.jpg », interprétée comme acte d’attribution humaine.
L’œuvre expose la figure du RIEN dans sa matérialité la plus directe, une présence figée sur un espace immaculé. Par un geste minimaliste, ce RIEN se dissout lentement, initiant une transformation imperceptible.
RIEN N’EST MONTRÉ ICI se présente comme une déclaration tautologique et paradoxale, une négation absolue érigée en manifeste. Sur une feuille A3 en format paysage, seule cette phrase, en majuscules, s’impose dans un silence visuel radical.
Dans la continuité de son œuvre fondatrice « Rien » (2000), Marcel Robert poursuit ici son exploration du vide, de l’effacement et de la révélation minimale.